Safir ne savait pas comment réagir. À la fois énervé par la stupidité de la jeune fille et embêté par le fait qu'elle pleurait, il ne savait pas quoi faire. Il décida de lui parler, et tant pis si Sandrinna se mettait en colère, au pire. Une rupture engagerait de toute façon des larmes, et le jeune homme préférait tout de même que ce soit l'autre plutôt que lui qui en pleure.
- Écoute, Sandrinna. Je n'ai peut-être pas été très clair. Peut-être même ai-je été carrément obscur, sur ce coup. Il n'empêche que ta réaction était... Inexcusable. Je ne m'attendais pas à ce que tu me sautes dans les bras en disant "Safir, ne me rejette pas, je t'aiime", mais au moins te demander ce que je voulais dire... Si tu as quelque chose de plus à me dire, dis-le, parce que je n'ai rien à faire là.